NOS TRACTS
TITRES-RESTAURANT
26 000 cheminots éligibles
La CFDT Cheminots signe et valide le renouvellement de l’accord
Le 16 avril 2018, conformément à ses 10 engagements pour changer le quotidien des cheminots, la CFDT a apposé sa signature sur l’accord 2019-2021 pour conserver cet acquis qu’elle a obtenu en 2015. Tous les salariés du Groupe public ferroviaire privés d’offre de restauration à proximité pourront ainsi continuer de bénéficier du titre-restaurant. C’est la démonstration que la politique de contractualisation de la CFDT porte ses fruits : quand un accord est bon pour le salarié, elle le valorise.
Pas de restaurant d’entreprise à moins de 10 minutes à pied ? Votre direction refuse la mise en place des titres-restaurant ? Des questions sur les conditions d’éligibilité ? De mise en place ? Contactez vos représentants CFDT qui répondront à toutes vos interrogations et demandes d’accompagnement.
Comment ça marche ?
- Carte de paiement à puce.
- Valeur faciale : 7 € (3,50 € pris en charge par l’ÉPIC d’appartenance et 3,50 € de participation par le salarié, diminuée éventuellement de 0,70 € si participation du CE.
- Avancée CFDT : désormais disponible pour les agents en réserve et en roulement.
- Utilisation jusque fin février pour les droits acquis au cours de l’année précédente.
Conditions d’éligibilité
- Bénéficier d’une coupure planifiée entre deux séances de travail.
- Ne pas bénéficier d’une allocation de panier.
- Ne pas bénéficier d’un accès contractualisé permettant de se rendre en toute sécurité à un restaurant d’entreprise (ou inter-entreprise, restaurant inter-administration) dans un délai de 10 minutes de marche à pied.
Les règles de la représentativité vont changer
Quels impacts pour les accords d’entreprise ?
Jusqu’à fin avril 2018, la validité d’un accord d’entreprise est toujours subordonnée à signature d’une ou plusieurs organisations syndicales de salariés représentatives ayant recueilli au moins 30 % des voix et, à l’absence d’opposition d’organisations syndicales de salariés représentatives ayant recueilli la majorité des suffrages exprimés dans un délai de huit jours.
À partir du 1er mai
Pour valider un accord, il faudra la signature des organisations syndicales cumulant 50 % des voix lors des dernières élections professionnelles.