MANUTENTION FERROVIAIRE

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Prime Macron

La CFDT agit pour obtenir son versement à tous les salariés !

La CFDT Cheminots a demandé aux entreprises de la branche de la manutention ferroviaire le versement des 1 000 euros de la prime dite Macron à l’ensemble des salariés qui, par leur métier ou fonction, sont ou ont été exposés à la Covid-19. Interpellation.

La CFDT est également intervenue auprès des pouvoirs publics pour que la branche de la manutention ferroviaire soit reconnue au même titre que les 15 autres secteurs d’activité identifiés comme regroupant des salariés « particulièrement exposés ». Cela ouvrirait la possibilité de négocier des éléments de rémunération complémentaires.

Qu’en est-il de cette prime de 1 000 euros ouverte à tous les bas salaires en 2021 ?

Le 15 mars dernier, le Premier ministre a réuni les partenaires sociaux lors d’une conférence sociale. La CFDT a porté et défendu la nécessité de reconnaître et récompenser les salariés mobilisés. En effet, c’est leur travail qui permet de maintenir l’activité. La CFDT a également porté l’exigence d’apporter des garanties et des protections aux salariés.

Quelles décisions ?

À l’issue de la troisième conférence du dialogue social, le Premier ministre a annoncé plusieurs décisions répondant à une partie des revendications de la CFDT. Parmi elles :

  • le renouvellement de la prime exceptionnelle pour le pouvoir d’achat, dite prime Macron, de 1 000 euros, défiscalisée et exonérée de cotisations sociales ;
  • la possibilité d’augmenter le montant de cette prime jusqu’à 2 000 euros pour les branches et les entreprises qui négocieront des éléments de revalorisation de ces métiers et pour les entreprises qui ont mis en place un accord d’intéressement.

Nos revendications

Les salariés de la manutention ferroviaire doivent bénéficier de la prime exceptionnelle. La CFDT a donc saisi la partie patronale pour que les salariés soient justement récompensés et reconnus. La CFDT considère que cette prime ne doit pas être « pour solde de tout compte » et revendique une amélioration durable des rémunérations et des conditions de travail.

Attention

Cette prime peut être modulée selon le niveau de qualification, la rémunération, la durée de présence sur les 12 derniers mois, la durée du travail ou les conditions de travail liées à l’épidémie de Covid. Ces critères sont aussi applicables aux intérimaires.

Que retenir ?

Salariés et militants syndicaux de la manutention ferroviaire, exigez de vos entreprises de pouvoir bénéficier de ces mesures exceptionnelles de reconnaissance !

Battons-nous pour que la prime Macron soit versée et pour qu’il y ait des accords de branche pour les travailleurs de la « deuxième ligne » !

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PAYS DE LA LOIRE / NANTES

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Parking sud & conditions de travail

La CFDT a été reçue, le dialogue n’est pas rompu !

La CFDT Cheminots a été reçue le 22 mars dernier dans le cadre de sa demande d’audience concernant la problématique avec la fin annoncée du parking sud et sur les conditions de travail. Décryptage.

Fin du parking sud
La direction a entendu que les solutions alternatives n’étaient pas satisfaisantes et nomme un facilitateur sur le dossier

La CFDT a rappelé que ce projet n’est pas nouveau, puisque le parking actuel a été préempté par Nantes Métropole afin de créer une plate-forme multimodale. La CFDT a rappelé qu’elle avait déjà interpellé la direction sur ce sujet, notamment dans les anciennes instances CHSCT. La CFDT a indiqué que le sujet des parkings concerne l’ensemble des entités du Groupe public ferroviaire (Voyages avec TER et TGV, Infra et Gares & Connexions).

Pour la CFDT, la problématique du parking doit s’apprécier à l’échelle du territoire

La CFDT a indiqué la particularité des cheminots en horaire atypique (roulants et sédentaires), qui sont indispensables à la production ferroviaire et la nécessité pour la direction de prendre en compte cette dimension. Il faut dire que les solutions alternatives de stationnement éloigné des lieux de prise de service sont loin de faire légitimement l’unanimité chez les cheminots !

Pour la CFDT Cheminots, la solution de proximité avec EFFIA doit être privilégiée. La CFDT a rappelé que le Groupe EFFIA est une entité du Groupe SNCF et qu’un partenariat est possible !

La CFDT a indiqué par ailleurs qu’il était urgent de détendre le calendrier en repoussant la date butoir du 1er avril 2021 pour la fin du parking afin de permettre de mener une concertation dans des conditions sereines.

La direction a fait savoir que des actions étaient en cours

Un responsable du parking a été nommé afin de proposer des solutions et des alternatives de stationnement sur le périmètre, en lien avec l’ensemble des entités de la SNCF. Des contacts sont en cours entre EFFIA, SNCF et Nantes Métropole. De plus, un audit parking va être mené pour recenser de manière précise les besoins et les habitations de stationnement dont bénéficie l’ensemble des salariés.

Conditions de travail, roulements, baisse de charges et activité partielle
Lors de cette audience, la CFDT a fait part d’un malaise grandissant

Il se manifeste notamment chez les ASCT, face à l’application des contraintes sanitaires vis-à-vis des clients et les conditions d’exigence du management, ressenties comme soutenues dans le contexte par les salariés. La direction a rappelé la difficulté qui était la sienne avec une baisse de charge à 30 % sur l’activité TGV dès la semaine prochaine, compte tenu de la crise sanitaire.

La problématique des roulements a été également abordée

La participation des salariés au groupe de travail roulement est indispensable.

Concernant l’activité partielle

La direction a indiqué le maintien de la rémunération avec l’ICESER (accord sur l’activité partielle de longue durée signé par UNSA, SUD et CFDT en janvier 2021). Seules les allocations de déplacement ne sont pas prises en compte. À titre d’exemple, sur une rémunération de 2 000 euros, dont 300 euros de primes, l’accord limite la perte à 30 euros, soit 1 970 euros nets.

Pour la CFDT Cheminots, les prochaines heures peuvent être déterminantes.

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Avenir d’Eurostar

La CFDT demande à être reçue en urgence

La situation chez Eurostar est alarmante : les conséquences de la crise sanitaire sont gravissimes, notamment sur les besoins en trésorerie. Les déclarations du président de la SNCF, qui indique « nous espérons que cela va être une affaire de semaines et pas de mois, parce que la situation sera vraiment très difficile fin mai début juin » et du directeur général, qui déclare « une catastrophe serait possible » en attestent. Interpellation CFDT.

La CFDT vient de demander à Jacques Damas, directeur général d’Eurostar à être reçue dans les meilleurs délais ! Alors que les conséquences de l’activité partielle ne cessent de se faire ressentir tant sur le plan financier et que sur l’organisation du travail, la CFDT tire la sonnette d’alarme et souhaite une rencontre pour aborder trois sujets cruciaux pour les salariés.

#1 Avenir d’Eurostar

Quel avenir pour les salariés d’Eurostar dans le contexte de la crise sanitaire et face au besoin en trésorerie pour lui permettre d’assurer sa survie ? Pour la CFDT, tout doit être mis sur la table pour préserver ce fleuron ferroviaire, symbole du lien entre les pays.

#2 Situations & perspectives sociales

La perte de rémunération liée à l’activité partielle se fait cruellement ressentir par les salariés. Par ailleurs, la question de l’emploi est préoccupante. Salariés EIL ou mis à disposition de la SNCF, ces questions concernent tout le monde. Pour la CFDT, pas question d’opposer les salariés. Il faut réinterroger le modèle social existant, le faire progresser et dresser des perspectives rassembleuses et porteuses d’avenir pour tous les salariés d’Eurostar.

#3 Sécurité

Les salariés sont confrontés à des situations de travail dégradées en raison de la concentration de passagers sur la mezzanine du terminal de Paris Nord, des opérations de précontrôle des tests PCR et des formalités demandées par l’immigration britannique. Ces opérations ne sont pas sans conséquence dans le respect des gestes barrières. Pour la CFDT, la situation doit être clarifiée
entre les différents interlocuteurs (immigration britannique et Eurostar).

La CFDT Cheminots vous tiendra informés des résultats de cette audience.

C’est ensemble que nous défendrons vos droits !
Rejoignez le collectif CFDT Eurostar : eurostar@cfdtcheminots.org

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AUDIENCE

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La CFDT, reçue par la Direction du Matériel

La CFDT Cheminots a été reçue en audience à la Direction du Matériel le 10 mars dernier. Cette audience a été l’occasion d’aborder plusieurs points : contractuels, flex office et télétravail. Nos revendications.

Contractuels à temps partiel

Ils ne peuvent pas prétendre au forfait en jours (FJ) réduit sans impact pécuniaire. La CFDT a demandé l’octroi d’une compensation financière sous forme de prime équivalente à la monétisation des RQ dont ils ne peuvent pas bénéficier s’ils ne passent pas au FJ réduit, car contraints de rester à temps partiel s’ils ne veulent pas subir de contrainte financière et s’ils souhaitent surcotiser pour la retraite. Les contractuels seront de plus en plus nombreux. Il n’est pas acceptable que ces collègues qui seront en temps partiel subissent un manque d’équité vis-à-vis de leurs collègues au statut et au FJ réduit qui, pour la même charge de travail, bénéficieront de quelques jours de repos supplémentaires et monétisables. La Direction du Matériel a renvoyé cette question au Groupe.

La CFDT Cheminots porte cette revendication au niveau du GPU !

Flex office & télétravail

À la suite de la crise sanitaire, de plus en plus d’agents souhaitent télétravailler. La question de l’organisation et du sens donné au travail se pose. Pour la Direction du Matériel, un poste fixe ne répondrait plus aux besoins. Les entités demandent à fonctionner autrement et à pérenniser le télétravail, même si les économies financières liées au gain de surface ne sont pas à négliger.

La CFDT rappelle trois nécessités

  • Surveiller le temps de connexion et la durée du travail pour tous. Attention à ne pas laisser les agents prendre un risque conscient ou inconscient d’avoir un déséquilibre vie personnelle et vie professionnelle, surtout pour les agents au FJ.
  • Un même suivi que celui fait sur Campra sur les autres périmètres du Matériel où ce serait développé, avec la même analyse fine des besoins des agents et de la spécificité des postes concernés. Le respect de la qualité de vie au travail doit rester une priorité. La direction confirme que le but est que la démarche soit uniforme sur les autres périmètres.
  • Rassurer les agents et prévoir les organisations en conséquence. La direction souhaite lever les inquiétudes. Elle a prévu une marge permettant de s’en assurer (bureaux, salles, box, etc.), mais elle a le regret de ne pouvoir lever cette inquiétude sans la preuve par l’expérience.

Que retenir ?

La CFDT est dans la construction du changement dès lors qu’il est porteur de progrès pour tous. Elle travaille pour que des solutions soient proposées dans une logique gagnant-gagnant, notamment pour les mobilités Province > Île-de-France.

Équipement en télétravail

Le télétravail a été mis en place pour la plupart des agents dans le cadre de la crise sanitaire, donc hors avenant au contrat de travail.

La fourniture de matériel est cadrée par l’accord télétravail

On constate que la majorité des agents n’a pas recours aux 100 € qui sont prévus dans l’accord. Il en est de même pour la demande d’attribution des écrans. Un guide du manager est en cours de rédaction, prenant en compte les retours d’expérience afin de permettre d’aider les managers pour généraliser les avenants à tous les agents qui en font la demande.

La CFDT demande l’ouverture d’une négociation pour améliorer les dispositions de l’accord sur le télétravail. Pourquoi ?

  • Pour permettre aux agents d’avoir plus de poids pour choisir et accéder au télétravail.
  • Pour une meilleure prise en charge des frais d’installation des postes à domicile, un amortissement des frais de consommables et une redistribution des économies générées par l’entreprise.
  • Pour une mise à jour des pratiques managériales et des relations dans les collectifs.
  • Afin de permettre un véritable droit à la déconnexion aux agents.

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