PAYS DE LE LOIRE : LA CFDT DU CONSEIL RÉGIONAL S’OPPOSE AU PROJET DE MISE EN CONCURRENCE DE L’OFFRE TER

PAYS DE LE LOIRE : LA CFDT DU CONSEIL RÉGIONAL S’OPPOSE AU PROJET DE MISE EN CONCURRENCE DE L’OFFRE TER

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NOS TRACTS

PAYS DE LE LOIRE : LA CFDT DU CONSEIL RÉGIONAL S’OPPOSE AU PROJET DE MISE EN CONCURRENCE DE L’OFFRE TER

Lors du Comité technique (instance de représentation du personnel) du vendredi 8 octobre, la délégation CFDT a voté contre la présentation du projet de mise en concurrence de l’offre TER. Une position cohérente de la CFDT qui a été le fruit d’une analyse partagée entre la CFDT du Conseil Régional et la CFDT Cheminots Récit.

 

Ce sont ainsi 340 à 420 salariés SNCF des lignes « Sud Loire et Tram Train » qui sont potentiellement concernés par un possible transfert vers un autre opérateur. Une des conséquences de l’avis défavorable de la représentation du personnel est que le texte devra être de nouveau soumis à consultation  lors d’une prochaine instance qui aura lieu le 18 octobre 2021.

Malheureusement cela ne changera rien sur le calendrier initial qui prévoit une présentation et un vote officiel lors de la séance plénière du conseil régional du 21 octobre. En revanche la CFDT attend de la suite du processus des avancées sur le plan social, dont certaines sont à la main de la Région : la délégation CFDT a notamment demandé l’insertion de clauses sociales lors du prochain appel d’offre.

POURQUOI?

La première préoccupation des élus CFDT est la conséquence du choix de la région en faveur de cette ouverture à la concurrence sur les conditions de travail des personnels concernés par ces lignes.

Sous le slogan « Plus de trains, mieux de trains » qui renvoie à un objectif louable de l’augmentation de l’offre de trains, la CFDT a tenu a rappelé sa grande préoccupation sur le dimensionnement des équipes et le maintien de conditions de travail protectrices qui contribueront aussi à la sécurité et à la qualité de service.

C’est en sens qu’elle a demandé que cette amélioration de l’offre intègre aussi une nécessaire responsabilité sociale  des entreprises qui auront à mettre en œuvre cette délégation de service public.

« Si l’on peut imaginer que « plus de trains » signifie plus de rotations, plus de rames, plus d’entretien, on peut aussi légitimement s’interroger sur les conséquences pour le personnel »

Dans son avis la CFDT a donc expressément revendiqué l’insertion de clauses sociales dans cet appel d’offre : « dans un contexte ou des négociations sont en cours pour revisiter la convention collective de cette branche, La CFDT souhaite que la Région en sa qualité d’autorité organisatrice, puisse introduire le respect de clauses sociales dans ses documents de consultation contractuels (Rédaction du DCE, et dans la phase de dialogue compétitif), Exprimant ainsi sa volonté de veiller à la bonne qualité de vie au travail des salariés de la/ou des entreprises délégataires (et nous pensons notamment aux problématique de prévention des risques professionnels, d’égalité professionnelle entre les Femmes et les Hommes…). ».

Quant à la CFDT Cheminots, elle rappelle l’extrême urgence à garantir la stabilisation du cadre social de la branche ferroviaire dans le sens d’un maintien des droits les plus essentiels du contrat social cheminot. Prévu par la loi nouveau pacte ferroviaire de 2018, un accord de la branche ferroviaire sur la continuité de certains droits pour les cheminots transférés est en effet toujours en cours de négociation.

Pour rappel, la CFDT est la 1ère organisation syndicale en France: en agissant solidairement, la voix de la CFDT pèsera!

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G&C GRATEX

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G&C GRATEX

En cette rentrée des classes, la CFDT Cheminots adresse la mention «insuffisant, peut mieux faire» à la direction de Gares & Connexions. Décryptage.

Le 17 Mars 2021, la CFDT Cheminots rencontrait la direction pour contester la GRATEX que celle-ci avait décidé de verser en lieu et place de l’intéressement.

Pour la CFDT le montant attribué était loin de répondre à l’engagement des cheminots pendant l’année écoulée.

Au regard des différents indicateurs inquiétants en matière de climat social (ex : nombre de départs de l’entreprise à fin juin équivalent au nombre

de départs sur une année entière, absence de candidatures aux offres de postes), la direction a semble-t-il décidé de sortir l’extincteur pour éteindre le début de l’incendie en annonçant l’attribution d’un complément de GRATEX sur la paie de septembre.

La CFDT Cheminots estime qu’il est inacceptable de se satisfaire d’une prime exceptionnelle de ce montant alors que les salaires sont bloqués depuis plusieurs années ainsi que les modalités d’évolution de carrière.

Si certaines organisations syndicales pensent que
les situations se règlent par des tractations, la CFDT Cheminots, elle, considère que c’est par la négociation, la transparence et la mobilisation que l’on démontre la détermination des cheminots à réclamer leur dû et obtenir des engagements fermes de la part de la direction.

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SNCF RÉSEAU

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SNCF RÉSEAU

Ré-internalisation, bilan à 9 mois ou comment faire moins de moins à sncf réseau

Un an après les premières tables rondes et bilatérales, l’heure est à un premier bilan de la ré-internalisation.

Les enjeux de ré internalisation en janvier 2021 étaient clairs et devaient se porter en priorité sur :

  • Le maintien et le développement des compétences techniques,
  • La diminution des externalisations les moins efficaces,
  • Les travaux ou prestations prioritaires telles que la végétation et l’incidentologie technique

La CFDT Cheminots à rappeler en séance ses positions:

#1 Privilégier  les cœurs de métiers (Voies, caténaire mais également  SM ou SE qui sont des ressources plus rares et que nous aurions intérêts à développer dans le cadre de parcours pro).

#2 La maitrise de la végétation doit être traitée à part dans le cadre de la politique de substitution du glyphosate, laquelle a fait par ailleurs l’objet de provisions financières de la part de SA Réseau.

#3 La nécessaire  ré-internalisation des missions de sécurité clés en mains notamment lors des travaux d’investissements.

#4 L’absence sur ZPIDF de réinternalisation de mission SE et la faible trajectoire globale par rapport aux autres ZP.

#5 Le regret  de ne pas avoir réinternalisé toute ou partie des études dans les directions techniques, avec  plus de sous-traitance, d’appel à des presta externes, alors pourtant qu’il ne fait aucun doute que cette externalisation est inefficace et onéreuse. En lieu et place, la SA réseau a choisi dans cette direction de développer le programme de productivité nommé efficience. La CFDT cheminots le regrette et le condamne.

#6 Nos attentes sur une reprise de la maintenance GSMR.

Pour la CFDT Cheminots, il est indispensable que le Rex regarde  ce qui a été fait, mais aussi ce que l’on pourrait faire de plus, notamment dans les métiers à forte composante technique.

Nos revendications:

Pour la CFDT cheminots, nous faisons le constat qu’il y a bien eu, ici et là des démarches d’établissements pour limiter cette externalisation et que cela s’est traduit directement par des chantiers repris en main par les agents SNCF, et cela est positif.  Mais pourtant, la démarche n’est pas appliquée partout avec la même efficacité et elle manque de transparence dans les chiffres.

Enfin, pour la CFDT cheminots, il devient urgent de redonner du sens à une politique rationnelle en matière de dépenses d’investissements. Le pilier humain de la SA Réseau ne peut se construire que sur cette fondation essentielle.

Ces chiffres ont forcément une résonance particulière quelques jours après les annonces de diminution drastique des effectifs par le président Farandou à l’occasion des cérémonies du quarantenaire de TGV.

La réponse de la direction:

La démarche est co-construite avec les OS et les équipes opérationnelles avec une prise en compte de la problématique actuelle. Le projet a une dimension industrielle et vise à améliorer la performance. Les directeurs ont été et sont à la manœuvre pour conduire cette démarche.

Des approches variées d’un établissement à l’autre conséquence de ne pas tout imposer au niveau national. En ce qui concerne le questionnement sur la comptabilisation : soit des heures, soit des postes créés, là aussi on a voulu laisser la main aux organisations locales.

On a souhaité distinguer le bilan par établissement. Il faut communiquer davantage sur la ré internalisation. Sur les télécoms les 4 embauches ont été faites à l’Artès. Sur infrarail , à date, la ré internalisation porte essentiellement sur des postes à Moulineuf (mécanique générale et arrêt de prestations externes et usinage) à Saint dizier , dispositif de reversement. Quercy Corrèze sera plutôt traité l’an prochain avec de la charge de reprise de la maintenance.

Prochaine table ronde au premier trimestre 2021.

Prochaine table ronde de suivi ré internalisation : 1er trimestre 2022.

La CFDT Cheminots vous tiendra au courant.

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REVENDICATIONS SALARIALES

REVENDICATIONS SALARIALES

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REVENDICATIONS SALARIALES

Exigeons une juste revalorisation de nos salaires !

#1 ACCORD SALARIAL 2021

  • Augmentation du salaire de base et des primes de travail
  • Création d’un véritable 13ème mois pour les personnels roulants et les contractuels
  • Revalorisation des indemnités de travail de nuit
  • Dimanches et fêtes.intéressement à 1000€ minimum.

#2 PRIME COVID

  • Versement d’une prime exceptionnelle de 1000€ à l’ensemble des cheminots portée à 1500€ pour les agents assurant la production ferroviaire.

#3 TRANSPOSITION CLASSIFS/RÉMUS

  • Déblocage de la grille sédentaire et de la grille ADC
  • Création d’une prime d’ancienneté pour les contractuels.

#4 COMPENSATIONS DE L’ARRÊT DES RECRUTEMENTS AU STATUT

  • Création de dispositifs spécifiques permettant de garantir un déroulement de carrière valorisant
  • Attribution d’un nombre supplémentaire de niveaux pour les prochaines notations.

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OUVERTURE À LA CONCURRENCE

OUVERTURE À LA CONCURRENCE

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OUVERTURE À LA CONCURRENCE

Transfert de personnel

La CFDT vous informe

Ce document a pour objet de vous apporter des réponses simples à des questions que vous pourriez vous poser. Si vous souhaitez obtenir davantage d’informations, n’hésitez pas à contacter l’un de vos représentants CFDT.

La loi Pour un nouveau pacte ferroviaire (NPF) a été adoptée le 27 juin 2018. Celle-ci a défini le calendrier et les modalités d’ouverture à la concurrence des services ferroviaires de voyageurs. Grâce à une ligne d’action claire associant propositions et mobilisation, la CFDT est parvenue à modifier le projet de loi. Cette stratégie a permis de corriger certains effets négatifs de cette réforme.La CFDT a ainsi réussi à inscrire de nombreuses garanties sociales dans un projet de loi qui n’en comportait à la base aucune.

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PASS SANITAIRE

PASS SANITAIRE

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PASS SANITAIRE

La CFDT Cheminots répond à vos questions

À ce jour, de nombreuses questions se posent sur l’extension du pass sanitaire. Pour mieux s’y retrouver, la CFDT Cheminots vient répondre aux principales questions posées par les agents sur ce sujet complexe et inédit. Explications.

Les informations données sont de nature à évoluer dans les jours et les semaines à venir. En effet, même si le décret nº 2021-955 du 19 juillet 2021 a été publié par le gouvernement le 20 juillet, le projet de loi relatif à la gestion de la crise sanitaire n’est pas encore promulgué. Après son passage au Parlement, il doit à présent passer par le contrôle du Conseil constitutionnel qui pourra en censurer certaines dispositions le 5 août prochain. C’est à ce moment-là que le texte de loi définitif sera connu.

Que retenir ?

Le porte-parole du gouvernement a annoncé ce jour que l’entrée en vigueur de la nouvelle loi sur les mesures anti-Covid qui prévoit notamment l’extension du pass sanitaire aux TGV, trains Intercités (IC), trains de nuit et trains internationaux entrerait en vigueur le 9 août prochain sous réserve de la validation du texte par le Conseil constitutionnel le 5 août.

Contrôle du pass sanitaire en gare et dans les trains soumis à l’extension du pass

L’État a demandé à la SNCF de réaliser des contrôles massifs dans les gares et à bord des trains, mais pas systématiques.

Le gouvernement a annoncé ce jour que des contrôles sont prévus durant les phases d’embarquement et sur les quais, de manière aléatoire, dans les trains soumis à l’extension du pass sanitaire et l’arrivée des trains en gare. Afin de répondre à ces exigences, la direction de l’entreprise a annoncé que les contrôles des pass sanitaires seraient réalisés de manière aléatoire, sans vérification de la pièce d’identité.

Quand ?

  • Soit en amont de l’embarquement à quai : ils seront réalisés par des équipes dédiées type équipe LAF (lutte antifraude) composée d’ASCT, d’agents de l’escale, de prestataires externes gilets rouges appuyées par les agents de la SUGE et / ou les forces de l’ordre.
  • Soit à bord des trains par les ASCT.

Lors de la table ronde d’informations organisée le 20 juillet par la direction, la CFDT Cheminots s’est clairement positionnée contre le contrôle des pass sanitaire par les ASCT à bord des trains, estimant que ces opérations présentaient un risque majeur en matière de sûreté. En conséquence, la CFDT Cheminots demande aux ASCT à bord de se limiter à leurs seules missions en lien avec la sécurité, la sûreté, la sauvegarde des recettes, le service client à bord des trains et le respect des mesures sanitaires.

Obligation pour certains agents de posséder un pass sanitaire à partir du 30 août prochain

La loi va rendre obligatoire le pass sanitaire pour plusieurs catégories de personnels à partir du 30 août prochain.

  • Les ASCT intervenant sur les TGV, IC, trains de nuit et internationaux.
  • Les agents de la SUGE intervenant sur les mêmes trains.
  • Les baristas intervenant sur les mêmes trains.
  • Les salariés de la manutention ferroviaire assurant des prestations de nettoyage à bord des mêmes trains.

La CFDT rappelle que ces salariés auront l’obligation de posséder un pass sanitaire

Il ne s’agit donc pas d’une obligation vaccinale. Le pass sanitaire consiste pour l’agent à posséder l’une des trois preuves sanitaires suivantes :

  • un certificat de vaccination attestant d’un schéma vaccinal complet et du délai nécessaire après l’injection finale (schémas et délais variables selon les vaccins) ;
  • la preuve d’un test négatif de moins de 48 heures (test PCR ou antigénique) ;
  • le résultat d’un test RT-PCR positif attestant du rétablissement de la Covid-19 datant d’au moins 11 jours et de moins de six mois.

La CFDT constate que l’entreprise a souhaité mettre l’accent sur la vaccination

La question de l’accès à un rendez-vous vaccinal est donc clairement posée au regard de l’engorgement constaté dans certains secteurs géographiques.

La direction doit davantage s’appuyer sur les centres médicaux SNCF et obtenir des places prioritaires dans les centres de vaccination, mais également dans les pharmacies pour les agents souhaitant se faire vacciner. Le respect du  libre arbitre des agents est essentiel et la direction peut inciter, mais ne doit pas obliger. D’autres entreprises, y compris de transport ferroviaire, ont déjà indiqué qu’elles mettraient à disposition de leurs salariés des tests antigéniques comme la loi les y autorisent afin de permettre à leurs salariés de répondre à leur obligation de produire un pass sanitaire. Pour la CFDT, la direction de la SNCF doit mettre en place une mesure similaire.

Autorisation d’absence et décompte en temps de travail de la vaccination

Le projet de loi comporte des dispositions nouvelles et spécifiques en lien avec la vaccination.

Afin de répondre à ces nouvelles obligations, la CFDT demande que les agents souhaitant se faire vacciner puissent bénéficier d’une autorisation d’absence et que le temps nécessaire pour se rendre au rendez-vous vaccinal soit décompté en temps de travail. Pour les agents se rendant à leur rendez-vous vaccinal sur leur temps personnel, la CFDT demande qu’un temps rendu équivalent à une journée de service soit redonné aux agents sous la forme d’un repos compensateur. La CFDT demande également, dans un souci d’équité, que les agents ayant déjà été vaccinés et qui le souhaitent puissent bénéficier de l’octroi d’un repos compensateur.

Confidentialité des informations médicales

Pour la CFDT Cheminots, la confidentialité médicale doit demeurer une règle incontournable.

L’agent n’est donc pas dans l’obligation de préciser comment il a obtenu son pass sanitaire. Dans certaines entités, la direction n’a pas hésité à questionner directement les agents afin de savoir s’ils avaient déjà leur pass sanitaire ou s’ils étaient vaccinés via leur adresse mail professionnel ou par SMS. La CFDT dénonce ces pratiques inacceptables et rappelle aux agents qu’ils ne sont pas tenus de répondre à ce type de demandes.

Acheminement des agents SNCF à bord des trains dans lesquels le pass sanitaire est étendu

Une demande claire de CFDT auprès de la direction de l’entreprise et du ministère des Transports.

Les agents amenés à prendre l’un de ces trains dans le cadre de leur journée de service doivent pouvoir présenter seulement leur Pass Carmillon et une attestation de l’employeur justifiant que ce trajet est rendu nécessaire par l’obligation d’assurer la production ferroviaire en lieu et place du pass sanitaire. La CFDT attend une réponse définitive sur ce point, sachant que l’hypothèse d’une tolérance pour les déplacements professionnels pourrait être acceptée par l’État jusqu’au 30 août prochain.

Sanctions et potentiels licenciements

Pour la CFDT, le choix du gouvernement d’étendre le pass sanitaire ne doit pas exposer les agents à de potentielles sanctions.

En effet, si chaque agent visé par la loi doit être en mesure d’attester de l’une des trois preuves sanitaires, la CFDT ne tolérera aucune tentative de dévoiement. L’incitation, la pédagogie et la mise à disposition de moyens pour que les agents puissent disposer dans les temps de leur pass sanitaire sont prioritaires et doivent être privilégiées par la direction. Le projet de loi prévoit plusieurs dispositions dans le cas de figure où un agent refuserait de présenter un pass sanitaire ou en cas de pass non valide. Celles-ci vont de la pose avec accord de l’entreprise à des jours de repos ou de congés à la possibilité pour l’employeur de suspendre le contrat de travail du salarié. Le gouvernement souhaitait à l’origine introduire dans la loi une disposition prévoyant un potentiel licenciement, mais celle-ci a été retirée lors des débats parlementaires. Il faut maintenant voir ce que contiendra le texte définitif adopté.

Pour la CFDT Cheminots

Les cas de suspension du contrat de travail sont clairement définis par le statut et ses textes d’application ainsi que par le Code du travail. Ceux-ci reprennent des situations telles que l’arrêt de travail ou l’accident du travail, le congé de maternité, de paternité ou parental, etc. Ils ne reprennent pas l’obligation de posséder un pass sanitaire et quoi que puisse en dire le gouvernement, cette disposition est contestable !

Hébergement & restauration

Résidences et maisons Orfea

À la suite des interventions de la CFDT auprès de la direction et du ministère des Transports, ceux-ci nous ont indiqué que le projet de loi excluait la restauration collective et que le pass sanitaire ne serait par conséquent pas exigé au sein des résidences et maisons Orfea.

Hôtels avec espaces communs (restaurant, piscine, salle de sport)

Depuis le 21 juillet, les hôtels possédant un restaurant, une piscine, une salle de sport ou de spectacle sont soumis à l’extension du pass sanitaire.

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