TÉLÉTRAVAIL

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La CFDT revendique des avancées pour mieux protéger !

Le télétravail a été encadré grâce à l’accord porté et négocié par la CFDT en 2017. Heureusement que la CFDT a créé ces droits pour les salariés ! Depuis le début de la crise sanitaire, le télétravail est devenu une organisation obligée pour beaucoup de cheminotes et de cheminots. La 3e vague en cours ne va pas améliorer la situation… Nos revendications.

Nouvelle pour certains, appréciée ou redoutée, cette forme d’organisation va s’imposer progressivement et durablement, au-delà de la crise. Pour la CFDT, il n’est pas question de subir, il faut construire !

La CFDT revendique de meilleures garanties et de plus grandes protections : repenser le télétravail et négocier les équilibres (vie pro’ & vie perso’, financier, maintien du collectif, etc.).

À la suite de nos multiples propositions et demandes, le DRH SNCF s’est engagé en CCGPF à ouvrir des discussions sur le sujet très rapidement.

Un prérequis pour la CFDT

Hors du contexte actuel de crise sanitaire, personne ne doit être mis en télétravail contre son gré. Lorsqu’il est imposé pour des raisons de force majeure, la CFDT revendique la mise en œuvre des mêmes droits pour les télétravailleurs occasionnels que pour les télétravailleurs réguliers, quel que soit leur collège, dès lors qu’ils peuvent et souhaitent télétravailler.

La CFDT vous livre une partie de ses revendications légitimes
#1 La prise en charge des frais professionnels

Il appartient à l’entreprise de prendre en charge les dépenses qui sont engagées par le salarié pour les besoins de son activité professionnelle et dans l’intérêt de l’entreprise.

L’enveloppe de 100 € doit être revue à la hausse
Pourquoi ?

Pour couvrir réellement les dépenses d’acquisition du mobilier, de matériel informatique et de périphériques complémentaires s’ils ne sont pas fournis par l’entreprise : écran, imprimante, etc. L’informatique et la logistique ne doivent pas être un frein. Le fait de ne pas avoir la possibilité de télétravailler pour des raisons matérielles ne doit pas être une condition suspensive de l’accès au télétravail. Cette organisation du travail doit permettre à chacun d’être dans les mêmes conditions de travail qu’au bureau.

L’allocation forfaitaire mensuelle de 15 € doit être elle aussi réévaluée
Pour prendre en compte les frais fixes

  • Le loyer ou la valeur locative brute.
  • La taxe d’habitation.
  • La taxe foncière.
  • Les charges de copropriété.
  • L’assurance multirisque habitation.

Pour prendre en compte les frais variables

  • Le chauffage et / ou la climatisation.
  • L’électricité.
  • La connexion au réseau téléphonique et l’abonnement internet.
  • Les consommables (ramettes de papier, cartouches d’encre, etc.).

#2 Équilibre vie perso’ & vie privée et le droit à la déconnexion

La CFDT revendique que la mise en place du télétravail prenne en compte le droit à la déconnexion. Depuis 1er janvier 2017, le droit à la déconnexion fait partie des sujets à aborder lors de la négociation annuelle obligatoire. Celui-ci a pour objectif le respect des temps de repos et de congé ainsi que la vie personnelle et familiale du salarié. C’est le droit pour tout salarié de ne pas être connecté à un outil numérique professionnel en dehors de son temps de travail.

Ce que la CFDT demande

  1. La mise en place de plages de joignabilité.
  2. Des formations visant à prendre conscience de l’importance de se déconnecter.
  3. L’utilisation stricte d’appels Teams ou portable professionnel pour éviter la communication à un tiers du numéro de téléphone personnel.

#3 Ajout d’une formule complémentaire à celles déjà proposées

Pour plus de souplesse dans le dispositif de télétravail, la CFDT demande la mise en place d’une formule alliant journées fixes et journées flottantes.

#4 Accompagnement dans l’utilisation des outils informatiques

L’utilisation des nouveaux outils digitaux est parfois complexe à appréhender. C’est pourquoi la CFDT demande que des formations aux outils Office 365 liés au travail collaboratif tels que Teams, SharePoint ou Forms puissent être dispensées systématiquement.

#5 Une méthodologie d’information continue

Les télétravailleurs doivent être accompagnés par l’entreprise : webinaires, tchats, etc.

#6 Évaluation des risques psychosociaux

Le télétravail est une modalité d’organisation du travail qui doit faire l’objet d’une évaluation adaptée des risques professionnels. Pour la CFDT, cette évaluation des risques doit notamment intégrer les ceux liés à l’éloignement du salarié de la communauté de travail et à la régulation de l’usage des outils numériques. Ces actions sur l’évaluation des RPS doivent être menées par l’entreprise à intervalles réguliers.

#7 Compensation à la restauration

Le télétravail doit ouvrir une compensation visant à prendre en charge une partie des frais de restauration, que ce soit par des titres-restaurant ou une participation, comme l’entreprise le fait envers les CSE qui assurent le fonctionnement des restaurants d’entreprise. Les participations doivent être fléchées directement vers les télétravailleurs plutôt qu’être thésaurisées dans les CSE.

#8 Représentation syndicale

Les salariés en télétravail ont les mêmes droits collectifs que les salariés qui travaillent dans les locaux de l’entreprise s’agissant de leurs relations avec les représentants du personnel s’ils existent et l’accès aux informations syndicales.

Ce que la CFDT demande

  1. La mise à disposition de panneaux d’affichage numériques.
  2. La mise en place d’heures d’information syndicale (HIS) dématérialisées suivant un process réalisable.
  3. La mise à disposition des télétravailleurs des informations pour pouvoir joindre leurs élus CSE.
  4. Les syndicats doivent pouvoir remplir leurs missions de représentation du personnel : pouvoir vérifier les conditions de travail, pouvoir informer, être contactés et rencontrés, préparer les instances représentatives du personnel (IRP), etc.

#9 Approche manager-managé

Le manager doit maintenir une équité entre ceux qui télétravaillent et les autres. Il se préoccupe d’eux de la même manière que ceux qui sont présents, en déplacement, etc. Les managers ont aussi le droit au télétravail dans les conditions précédentes. Le télétravail doit pouvoir être possible pour le plus grand nombre. Il appartient aux managers de travailler avec leurs équipes et les RH pour définir des missions réalisables à distance. Une confiance réciproque doit s’installer. La mise en place d’indicateurs de charge de travail, de pesage des postes, mais surtout l’adaptation des fiches de poste doit permettre une mise en place efficace du télétravail.

Dans une période où le lien social est très important, le télétravail ne doit pas être prétexte à l’introduction du flex office pour rationaliser les mètres carrés occupés !

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VOTRE AVIS DOIT COMPTER !

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Retour d’expérience : transformation 2020 Gares & Connexions

Pour la CFDT, l’avis de tous les agents doit compter !

Le passage en SA de Gares & Connexions au 1er janvier 2020 s’est accompagné d’une transformation d’envergure des structures territoriales et des processus. Questionnaire.

Les élus CSE CFDT Cheminots avaient exprimé le souhait qu’un retour d’expérience soit réalisé auprès des agents pour appréhender les impacts de ces transformations dans leur quotidien.

Le 12 janvier dernier

La Direction de Gares & Connexions présentait aux élus du CSE ce qu’elle estimait être une démarche de retour d’expérience. Une quarantaine d’entretiens prévus, exclusivement réalisés auprès des managers, soit environ 1 % des salariés de Gares & Connexions.

Au regard de cette mascarade, la délégation CFDT Cheminots faisait le choix de quitter la séance !

La frugalité est depuis peu le maître mot de la politique de Gares & Connexions et a certainement été l’élément central dans les choix de la commande de Gares & Connexions auprès de SNCF Consulting, mandaté pour la réalisation de l’enquête. Si la CFDT convient que des efforts peuvent être faits dans certains domaines, elle refuse que les logiques économiques libérales régissent les conditions de travail, la santé et le bien-être des cheminots !

Vous avez la parole !

La CFDT Cheminots a décidé de proposer à tous les agents de Gares & Connexions de s’exprimer au travers d’un questionnaire en ligne, tout en leur garantissant l’anonymat. Ce questionnaire reprend celui de SNCF Consulting qui a été utilisé pour interviewer les quelques agents de Gares & Connexions.

Le temps de réponse est estimé à 20 minutes

Nous vous demandons de participer massivement afin de nous permettre de confronter l’expression du ressenti des agents aux résultats qui seront présentés par la direction.

Attention

Les questions reprises sont celles du questionnaire de la direction. Par conséquent, certains services n’ont pas fait l’objet de questions ciblées. Nous invitons les agents concernés à s’exprimer dans le volet expression libre prévu à cet effet ou à nous contacter directement à l’adresse garesetconnexions@cfdtcheminots.org

Je réponds au questionnaire en cliquant ici

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LA CFDT VOUS DONNE LA PAROLE

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Le projet Maintenir demain de SNCF Réseau

La réorganisation de la maintenance des Infrapôles

La direction de la SA Réseau dévoile chaque jour son projet. La CFDT participe activement aux échanges, mais il est temps pour nous de recueillir vos avis éclairés. Questionnaire.

Rappel des grandes lignes de ce projet

  • Suppression du DPX et mise en œuvre d’une unité territoriale (voir infographie) sous la responsabilité d’un dirigeant d’unité regroupant les spécialités voie, SE, caténaire et SM. Le dirigeant d’unité territoriale est le N+1 du responsable d’équipe qui « est en orange sur le terrain ».
  • Création d’un pôle patrimoine sécurité et d’un pôle ordonnancement organisation dans lequel on retrouve les agents qui tenaient jusqu’alors les fonctions de DPX ou d’assistants d’unité.
  • Les responsables d’équipe sont les anciens CEV (2/3 des postes) et les anciens TOP ou TAP (1/3 des postes).
  • La productivité de ce projet sur l’encadrement des unités est de 5 % lors de la mise en œuvre de celui-ci.
  • Six établissements tête de file concernés dès 2022 (Nord-Pas-de-Calais, Paris Sud-Est, Alpes, Poitou-Charentes, Paris Saint-Lazare, Ipôle LGVA). 11 infrapôles ensuite en 2023 et les 11 derniers infrapôles en 2024.

Je participe à l’enquête Cfdt en cliquant ici

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ACTU’IC #7

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ACTU’IC #7

Focus sur

La plénière du CSE Intercités de mars

L’avenant pour l’année 2021 de la convention qui nous lie à l’État se poursuit et devrait aboutir ces prochaines semaines. La négociation sur la nouvelle convention applicable à partir de 2022 débutera ensuite et s’annonce longue.

Un bilan économique 2020 catastrophique

Intercités enregistre une perte de 82 millions d’euros. Il n’y a pas de volonté de toucher à l’emploi, car quand la crise sera finie, tous les agents seront nécessaires pour remettre en marche le plan de transport.

OSLO

La fuite dans la presse des détails de ce projet est considérée comme un acte de malveillance à l’encontre des intérêts de l’entreprise. Il n’y a plus d’effet de surprise vis-à-vis de la concurrence. Une enquête SUGE est diligentée. L’objectif du projet OSLO reste inchangé : prendre des parts de marché à la route.

Ce qui nous inquiète

En 2020, malgré un plan de transport très réduit, la CFDT Cheminots note une augmentation du nombre d’outrages à agent.

L’accès aux titres-restaurant est maintenu pour les agents en télétravail à cause de la pandémie.

Point sur la Covid-19

Le protocole de vaccination avec AstraZeneca se met en place

Les cabinets médicaux peuvent se porter volontaires pour vacciner les agents. Un courrier sera alors envoyé aux DET dont les agents sont rattachés aux cabinets volontaires. Seuls les salariés volontaires âgés de 55 à 64 ans avec comorbidité et uniquement s’ils ne peuvent être vaccinés ailleurs (médecin traitant, pharmacien, etc.) peuvent en bénéficier.

La vaccination des agents n’est pas une obligation pour nos cabinets médicaux.

Bilan des notations

La CFDT n’est représentative qu’aux notations du collège cadre

Cette année, nous avons traité 31 lettres de réclamation. Six agents défendus par la CFDT ont obtenu une PR en réclamation. Un agent, victime d’une erreur administrative, a également été noté hors compte grâce à notre intervention. La CFDT s’est inquiétée de l’attribution du niveau 2 pour les agents de la qualification F. La plupart des agents éligibles appartiennent à la DIR IC et risquent de « végéter » à F1 23 pendant cinq ou six ans.

Nous demandons à la direction d’agir dès 2022 pour éviter une situation de frustration à la Dir IC !

Bonaly
Du nouveau

Au 1er avril, l’ensemble des salariés de l’équipe BONALY aura retrouvé un poste. La CFDT tient à remercier tous ces agents qui ont œuvré corps et âme pour répondre à cet appel d’offres. Nous rappelons également que la décision rendue par l’État est une honte !

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MANUTENTION FERROVIAIRE

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MANUTENTION FERROVIAIRE

Prime Macron

La CFDT agit pour obtenir son versement à tous les salariés !

La CFDT Cheminots a demandé aux entreprises de la branche de la manutention ferroviaire le versement des 1 000 euros de la prime dite Macron à l’ensemble des salariés qui, par leur métier ou fonction, sont ou ont été exposés à la Covid-19. Interpellation.

La CFDT est également intervenue auprès des pouvoirs publics pour que la branche de la manutention ferroviaire soit reconnue au même titre que les 15 autres secteurs d’activité identifiés comme regroupant des salariés « particulièrement exposés ». Cela ouvrirait la possibilité de négocier des éléments de rémunération complémentaires.

Qu’en est-il de cette prime de 1 000 euros ouverte à tous les bas salaires en 2021 ?

Le 15 mars dernier, le Premier ministre a réuni les partenaires sociaux lors d’une conférence sociale. La CFDT a porté et défendu la nécessité de reconnaître et récompenser les salariés mobilisés. En effet, c’est leur travail qui permet de maintenir l’activité. La CFDT a également porté l’exigence d’apporter des garanties et des protections aux salariés.

Quelles décisions ?

À l’issue de la troisième conférence du dialogue social, le Premier ministre a annoncé plusieurs décisions répondant à une partie des revendications de la CFDT. Parmi elles :

  • le renouvellement de la prime exceptionnelle pour le pouvoir d’achat, dite prime Macron, de 1 000 euros, défiscalisée et exonérée de cotisations sociales ;
  • la possibilité d’augmenter le montant de cette prime jusqu’à 2 000 euros pour les branches et les entreprises qui négocieront des éléments de revalorisation de ces métiers et pour les entreprises qui ont mis en place un accord d’intéressement.

Nos revendications

Les salariés de la manutention ferroviaire doivent bénéficier de la prime exceptionnelle. La CFDT a donc saisi la partie patronale pour que les salariés soient justement récompensés et reconnus. La CFDT considère que cette prime ne doit pas être « pour solde de tout compte » et revendique une amélioration durable des rémunérations et des conditions de travail.

Attention

Cette prime peut être modulée selon le niveau de qualification, la rémunération, la durée de présence sur les 12 derniers mois, la durée du travail ou les conditions de travail liées à l’épidémie de Covid. Ces critères sont aussi applicables aux intérimaires.

Que retenir ?

Salariés et militants syndicaux de la manutention ferroviaire, exigez de vos entreprises de pouvoir bénéficier de ces mesures exceptionnelles de reconnaissance !

Battons-nous pour que la prime Macron soit versée et pour qu’il y ait des accords de branche pour les travailleurs de la « deuxième ligne » !

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PAYS DE LA LOIRE / NANTES

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Parking sud & conditions de travail

La CFDT a été reçue, le dialogue n’est pas rompu !

La CFDT Cheminots a été reçue le 22 mars dernier dans le cadre de sa demande d’audience concernant la problématique avec la fin annoncée du parking sud et sur les conditions de travail. Décryptage.

Fin du parking sud
La direction a entendu que les solutions alternatives n’étaient pas satisfaisantes et nomme un facilitateur sur le dossier

La CFDT a rappelé que ce projet n’est pas nouveau, puisque le parking actuel a été préempté par Nantes Métropole afin de créer une plate-forme multimodale. La CFDT a rappelé qu’elle avait déjà interpellé la direction sur ce sujet, notamment dans les anciennes instances CHSCT. La CFDT a indiqué que le sujet des parkings concerne l’ensemble des entités du Groupe public ferroviaire (Voyages avec TER et TGV, Infra et Gares & Connexions).

Pour la CFDT, la problématique du parking doit s’apprécier à l’échelle du territoire

La CFDT a indiqué la particularité des cheminots en horaire atypique (roulants et sédentaires), qui sont indispensables à la production ferroviaire et la nécessité pour la direction de prendre en compte cette dimension. Il faut dire que les solutions alternatives de stationnement éloigné des lieux de prise de service sont loin de faire légitimement l’unanimité chez les cheminots !

Pour la CFDT Cheminots, la solution de proximité avec EFFIA doit être privilégiée. La CFDT a rappelé que le Groupe EFFIA est une entité du Groupe SNCF et qu’un partenariat est possible !

La CFDT a indiqué par ailleurs qu’il était urgent de détendre le calendrier en repoussant la date butoir du 1er avril 2021 pour la fin du parking afin de permettre de mener une concertation dans des conditions sereines.

La direction a fait savoir que des actions étaient en cours

Un responsable du parking a été nommé afin de proposer des solutions et des alternatives de stationnement sur le périmètre, en lien avec l’ensemble des entités de la SNCF. Des contacts sont en cours entre EFFIA, SNCF et Nantes Métropole. De plus, un audit parking va être mené pour recenser de manière précise les besoins et les habitations de stationnement dont bénéficie l’ensemble des salariés.

Conditions de travail, roulements, baisse de charges et activité partielle
Lors de cette audience, la CFDT a fait part d’un malaise grandissant

Il se manifeste notamment chez les ASCT, face à l’application des contraintes sanitaires vis-à-vis des clients et les conditions d’exigence du management, ressenties comme soutenues dans le contexte par les salariés. La direction a rappelé la difficulté qui était la sienne avec une baisse de charge à 30 % sur l’activité TGV dès la semaine prochaine, compte tenu de la crise sanitaire.

La problématique des roulements a été également abordée

La participation des salariés au groupe de travail roulement est indispensable.

Concernant l’activité partielle

La direction a indiqué le maintien de la rémunération avec l’ICESER (accord sur l’activité partielle de longue durée signé par UNSA, SUD et CFDT en janvier 2021). Seules les allocations de déplacement ne sont pas prises en compte. À titre d’exemple, sur une rémunération de 2 000 euros, dont 300 euros de primes, l’accord limite la perte à 30 euros, soit 1 970 euros nets.

Pour la CFDT Cheminots, les prochaines heures peuvent être déterminantes.

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