ALTERNANTS

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ALTERNANTS

La CFDT agit pour défendre vos droits et améliorer vos conditions de travail

Les alternants travaillent à nos côtés et méritent la reconnaissance de leur implication quotidienne à tous les niveaux de l’entreprise. Pour la CFDT, il est urgent que leur travail soit pleinement considéré. Audience.

Pour rappel

Le processus de prime exceptionnelle décidé à la fin de l’année dernière excluait les alternants. Grâce à la CFDT et à un travail réalisé en commun avec le collectif d’alternants, cette prime a pu leur être octroyée.

Gagner en compétence, travailleurs de l’ombre, main d’œuvre pas chère, emploi durable… : dans une enquête réalisée récemment par un collectif d’alternants SNCF, ils dressent un constat lucide et sans concession sur leur situation actuelle. Le travail de la CFDT pour des collègues alternants continue. Le 4 septembre dernier, une délégation incluant un représentant du collectif d’alternants a été reçue par la DRH du Groupe public ferroviaire. Aujourd’hui, dans un contexte de profonde mutation et de réduction des embauches, la CFDT Cheminots revendique pour les alternants qui le souhaitent la priorisation de leurs recrutements lorsque cela s’avère possible. Les alternants sont les talents de demain, la SNCF doit tout mettre en œuvre pour faciliter leur accueil, leurs parcours et leurs intégrations dans l’entreprise.

 Que revendique la CFDT ?

  • Une amélioration des conditions de travail des alternants (respect des horaires et bonne adéquation de la charge de travail).
  • Un meilleur accueil et suivi des alternants, notamment en début et en fin de contrat.
  • Une politique de rémunération attractive, qui intègre notamment l’alignement sur La prime et le versement de la prime de fin d’année (PFA).
  • Des pratiques homogènes et partagées dans le cadre du tutorat.
  • Une évolution managériale et culturelle forte sur la prise en compte des collègues alternants.

L’audience du 4 septembre a permis de partager un certain nombre de constats sur la spécificité des alternants au travers de la restitution de l’enquête effectuée par le collectif d’alternants. Pour la CFDT, ce n’est qu’une première étape. Si la SNCF souhaite rester attractive et attirer les talents de demain dans un contexte concurrentiel, un travail conséquent reste à réaliser. La CFDT est prête à y apporter ses propositions et ses contributions, accompagnée du collectif d’alternants.

Le nombre de demandes d’alternance à la SNCF est en baisse depuis 2017 

Une telle tendance devrait inciter l’entreprise à revoir son approche. Afin de pousser dans ce sens, la CFDT a fixé avec la direction le principe d’un nouvel échange sur des réponses concrètes. Affaire à suivre prochainement.

Les dates clés

2015

La CFDT a obtenu de nombreuses régularisations en embauche des alternants. En déposant une demande de concertation immédiate (DCI), la CFDT a obtenu, sur la base de la directive Nogué, l’embauche d’alternants ayant obtenu leur diplôme ainsi que des CDD de plus de six mois ayant donné satisfaction lors de leurs évaluations en établissement.

2019

La CFDT a été la seule organisation syndicale à demander l’inscription d’une négociation pour améliorer la situation des alternants, travailler sur leur reconnaissance et sur la question stratégique du recrutement prioritaire des alternants dans le cadre des détections des talents. Le sujet n’étant porté par aucune autre organisation syndicale, la direction a refusé d’inscrire cette négociation à l’agenda social. Pour la CFDT, la situation ne peut pas rester en l’état. Les négociations à venir sur la SNCF 2020 doivent notamment traiter de l’attractivité de l’entreprise, de l’évolution des emplois et des compétences. Pour la CFDT, la question des alternants doit y être intégrée. C’est l’occasion de construire ensemble. Pour certains alternants, le passage à la SNCF est une expérience dans la construction d’un parcours de formation. Pour d’autres, l’obtention d’un emploi pérenne à l’issue du parcours de formation est une forte attente.

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BRANCHE FERROVIAIRE

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En signant deux accords, la CFDT gagne de nouveaux moyens pour agir !

Le 6 septembre, après décision de son Conseil national, la CFDT Cheminots signe deux avenants visant à compléter utilement les outils de négociation, d’interprétation et de conciliation dans la branche. Explications.

La CPPNI, c’est quoi ?

Rendue obligatoire par la loi, la transformation de la Commission mixte paritaire (CMP) en Commission paritaire permanente de négociation et d’interprétation (CPPNI) est une opportunité pour renforcer les prérogatives des partenaires sociaux dans la branche.

Quelles sont les avancées obtenues par la CFDT ? 

Grâce à ses nombreuses propositions, la CFDT Cheminots a obtenu des évolutions concrètes.

  • Un pouvoir d’interprétation et de conciliation sur les accords, reconnu aux seuls signataires de ces accords : la CFDT a porté cette disposition légitime qui donne à ceux qui ont engagé leur signature la capacité d’émettre des avis d’interprétation sur toute disposition litigieuse de la convention collective. Ces avis sont d’application obligatoire pour toutes les entreprises de la branche (jurisprudence conventionnelle). Dans le contexte concurrentiel, cette régulation sera stratégique pour interdire les contournements de la règle applicable.
  • Une commission qui recevra des prérogatives étendues au-delà de la négociation des accords : promotion de la branche ferroviaire, suivi des accords passés dans les entreprises, prospective au moyen de l’observatoire des métiers sur la GPEC, sur la transformation des métiers, sur la protection sociale, etc.
  • Une commission dotée de moyens renforcés dans la représentation syndicale : quatre membres au lieu de trois et des participants supplémentaires aux réunions de préparation et de restitution de l’observatoire.

La CFDT a cherché à tirer le meilleur parti d’une négociation technique qui s’est « invitée » dans le calendrier des négociations à la demande de la CGT, laquelle a pourtant très peu contribué à l’évolution du texte. Après trois séances de négociations, ce sont les propositions CFDT qui améliorent l’efficacité de l’outil de négociation au sein de la branche.

Convention collective nationale : des propositions CFDT déjà sur la table

  • La CFDT exige qu’une priorité absolue soit donnée aux négociations sur les sujets de fond pour lesquels elle a déjà formulé de nombreuses propositions concrètes.
  • La CFDT a mis sur la table des négociations un projet d’accord complet sur les classifications et les rémunérations, prenant en compte la diversité des métiers ferroviaires, instaurant des mécanismes de progression professionnelle garantis, instituant une prime d’ancienneté dans la branche et revendiquant l’instauration d’un treizième mois conventionnel pour tous.
  • La CFDT promeut l’idée d’une protection sociale construite sur une unique caisse de branche pour le régime de base (CPRP étendue à tous dont la faisabilité fait l’objet d’un rapport remis au gouvernement) ainsi que sur un régime complémentaire de très haut niveau avec une prise en charge des cotisations par les employeurs ferroviaires.
  • La CFDT défend une extension à tous les salariés de la branche de l’accès à la médecine de soins SNCF (notamment la médecine spécialisée, comme le prévoient les engagements de la ministre des Transports formalisés en 2018).
  • La CFDT revendique la continuité des facilités de circulation et son extension à tous les salariés.
  • La CFDT a fait des propositions pour la sécurisation des parcours professionnels et la mobilité volontaire au sein de la branche, qui constituerait une vraie garantie de l’emploi.
  • La CFDT poursuivra la voie du progrès social par la contractualisation. Face à l’ampleur des sujets à traiter avant l’ouverture à la concurrence, la CFDT attend de l’UTP l’intensification des négociations et un plus grand volontarisme dans les propositions.

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CHRONO’GARES PAYS DE LA LOIRE & BRETAGNE

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Les espaces de vente resteront à quai, la direction met des rustines !

La CFDT a été reçue vendredi 19 juillet par la direction TGV Ouest à la suite de sa procédure d’alerte sociale (DCI). Le point sur la situation dans les espaces de ventes et les mesures annoncées par la direction à la suite de l’opération CFDT Chrono’Gares.

Ici, comme ailleurs, le constat est le même : les vendeurs sont de plus en plus confrontés à des voyageurs agacés et impatients du fait des conditions d’accueil qu’on leur propose et avec des temps d’attente pour le moins scandaleux…

Une stratégie totalement assumée par la direction 

La SNCF s’obstine à pratiquer la politique de la terre brûlée en fermant de nombreux points de vente et en supprimant des postes de vente à tour de bras… D’ailleurs, la direction s’est fixé un objectif national concernant l’accueil des voyageurs : pas plus d’une heure d’attente, dont 80 % à moins de 30 minutes au 31 décembre 2019. Souvenez-vous, au début de notre opération, elle annonçait pas plus de 30 minutes. Un exercice de sémantique qui met en évidence l’absence de volonté de la SNCF de régler de manière durable l’accueil des voyageurs dans ses points de vente.

À la CFDT, nous disons stop à cette politique du pire et stop aux conditions de travail détestables !

Nous réclamons des conditions d’accueil dignes de ce nom pour nos voyageurs, mais aussi, et surtout, des conditions de travail acceptables pour les vendeurs. La CFDT Cheminots réclame des mesures immédiates et pérennes pour stopper tout cela. La direction est consciente de ces dysfonctionnements, mais ne met que des rustines !

Une action CFDT qui a payé !

La CFDT Cheminots obtient la majoration de la prime de travail de 20 % pour les agents en contact client en gare : vente et escale de Nantes, Rennes, Le Mans, Angers et Laval, ainsi que pour les agents de la RCAD pour les mois de juillet et août. La mise en application se fera sur les fiches de paie d’août et septembre. Pour la CFDT Cheminots, c’est un premier geste qui doit en appeler d’autres, car rien n’est réglé pour le moment.

Service ligne directe 

Afin de pallier l’augmentation des appels au 3635, trois postes sont à pourvoir de suite au RCAD de Vannes. La CFDT Cheminots voit dans ces propositions un geste très modeste de la part de notre direction. Il est clair que ces dispositions ne permettront pas de répondre aux dysfonctionnements structurels tels que nous les connaissons actuellement aux guichets.

La CFDT exige des solutions pérennes

Le recours à des CDD n’est ici évoqué que comme une solution palliative et de toute façon temporaire. Pour la CFDT, l’amélioration souhaitée ne vaut que si elle s’inscrit dans la durée. Cela passe nécessairement par des emplois en nombre suffisant et donc par de vrais recrutements ! L’action Chrono’Gares a établi que la problématique des files d’attente n’était pas différente d’une région à une autre. Pour la CFDT, l’activité Voyages n’a aucune raison de prendre deux mesures différentes (une pour la province et une pour l’Île-de-France), elle exige donc 200 euros par mois et par agent.

La direction SNCF s’engage à faire baisser ces temps d’attente aux guichets. La CFDT Cheminots en doute. Elle est fortement préoccupée par la surcharge de travail du personnel des points de vente et demande à la direction SNCF de mettre en œuvre toutes les dispositions nécessaires afin de préserver l’intégrité des salariés en place.

RDV auprès de vos représentants et signez la pétition en ligne 

Nous avons besoin de vos témoignages. La CFDT opérera un acte 2 de l’opération Chrono’Gares à la rentrée. Cela permettra de vérifier si l’attente des voyageurs aux guichets a vraiment baissé, ainsi que l’état d’amélioration des conditions de travail de nos collègues.

#PlusDeGuichetsSncf #PlusDeCheminotsCommerciaux : http://chng.it/5CBW7yhQ4N 

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GUICHETS SNCF

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L’entreprise contrainte à revoir sa copie !

À la suite de l’opération Chrono’Gares et de sa DCI, la CFDT Cheminots obtient des mesures immédiates pour les agents des gares (vente & escale), ainsi que pour ceux de la RCAD.

En Île-de-France

  • Arrêt immédiat du projet de suppression de 59 postes de vendeurs voyages.
  • 50 recrutements internes supplémentaires pour renforcer  les effectifs de vente Voyages.
  • Une prime de 200 € pour les agents des gares Voyages (vente & escale) et pour ceux de la RCAD.

En régions

  • Arrêt immédiat de la suppression des postes des guichets Voyages.
  • Arrêt immédiat de la fermeture des boutiques SNCF.
  • Majoration en juillet et août de 20 % de la prime de travail des agents des gares Voyages (vente & escale) et pour ceux de la RCAD.

Suite de la DCI CFDT en septembre 

RDV est d’ores et déjà pris afin que la direction rende compte de ses engagements en matière d’emplois et de dossiers de réorganisations. La CFDT Cheminots vérifiera l’impact de ces premières mesures pour les clients et pour les agents. La CFDT vous invite à signer, faire signer et relayer en masse la pétition en ligne. La CFDT, conformément aux engagements de la direction, attend des mesures concrètes pour les gares de province TER et Voyages, ainsi que pour celles Transilien.

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#PlusDeGuichetsSncf #PlusDeCheminotsCommerciaux
 Signez la pétition http://chng.it/5CBW7yhQ4N

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CHRONO’GARES EN RÉGIONS

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À Nantes et Rennes, comme ailleurs, la direction doit revoir son organisation !

Trop, c’est trop ! Pas un jour sans que nos collègues de la vente déplorent le fiasco de la réorganisation du schéma de distribution. La CFDT a mené son enquête avec Chrono’Gares. De une heure à une heure et demie en moyenne d’attente pour les clients, ce n’est plus acceptable. La CFDT Cheminots fait un constat édifiant et réclame des mesures urgentes et immédiates. Décryptage.

Les agents de la vente sont excédés par leurs situations. Il y a quelques mois, plusieurs postes ont été supprimés. Alors que bon nombre d’entre eux sont en souffrance à l’EIM, l’entreprise se souvient d’eux et leur donne « un coup de pouce » durant la période estivale… De plus, les fins de prises de service sont tendues, cela pose des questions de sûreté !

La CFDT revendique des mesures immédiates

  • Création de postes supplémentaires pérennes dédiés à la vente sur les gares de nos régions (Angers, Le Mans, Nantes, Rennes, etc.).
  • Mise en place d’une prime de 200 euros, comme obtenu sur l’Île-de-France.
  • Majoration de la prime de travail de 20 % au-delà de la période juillet-août.

La CFDT Cheminots sera reçue vendredi 19 juillet par la direction de l’axe atlantique. Elle demandera à la direction de mettre les moyens nécessaires pour remédier cette situation inacceptable. La CFDT fera un point détaillé à l’issue de cette DCI et viendra à votre rencontre.

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SUGE

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Plus d’indemnités

La CFDT obtient un total de 47 euros bruts

Après six mois de discussions (bilatérales, DCI, préavis), la CFDT obtient la mise en place d’une compensation financière sous la forme de deux indemnités en complément des frais réels.

De quoi s’agit-il ?

Décembre 2018

La Direction de la Sûreté décide, sans concertation, d’imposer les frais réels à tous les agents de la SUGE au 1er mars 2019, sans aucune contrepartie. La CFDT s’offusque de la méthode et dépose une DCI ainsi qu’un préavis sur ce sujet.

La CFDT Cheminots obtient le report de la mesure et l’obligation d’engager une concertation préalable à sa mise en œuvre pour les collèges exécution et maîtrise.

Juin 2019

En six mois, la contrepartie financière passe de 0 à 47 euros grâce à la CFDT.

La mesure

En complément du remboursement des frais de déplacement (hôtel + repas), lors d’une projection opérationnelle, les agents SUGE percevront l’indemnité de projection opérationnelle de 25 euros et l’indemnité de contrainte hébergement de 22,10 euros à minima pour le taux A, soit un total de 47 euros bruts.

La mise en œuvre

Une directive viendra préciser les modalités d’application de ces indemnités à partir du 1er novembre 2019.

À noter

Après l’intervention de la CFDT, la direction confirme le remboursement du repas aux frais réels d’un agent en dépassement de service de plus de neuf heures en dehors de sa zone normale d’emploi.

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