NOUVEAUX EMBAUCHÉS

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Logement en Île-de-France : la CFDT obtient du concret !

Chaque année, la SNCF recrute près de la moitié de ses agents en Île-de-France. Une vraie solution de logement était donc indispensable pour les nouveaux embauchés dans une région où se loger devient de plus en plus compliqué et très cher. Grâce aux actions de la CFDT, les nouveaux embauchés de cette région disposent désormais d’une vraie solution de logement. Explications.

Les dispositions de ce programme répondent aux revendications portées par la CFDT, qui a rencontré la direction à plusieurs reprises sur ce sujet. Il est à rappeler que le « Vivre et travailler au pays » est l’une des revendications phares de la CFDT. Cela se traduit par l’obligation pour l’entreprise à proposer un logement décent, à un prix abordable et à proximité du lieu de travail de l’agent. C’est ainsi que la création du dispositif « Garantie logement » a vu le jour.

Pourquoi une telle démarche de la CFDT ?

Aujourd’hui, la SNCF n’apparaît pas attractive et les salaires proposés ne sont pas à la hauteur du coût de la vie et des contraintes professionnelles, notamment en Île-de-France. Pour la CFDT, le logement fait partie des éléments essentiels. Avec un parc immobilier inadapté et dégradé, avec un manque de nouveaux logements, la SNCF n’arrive plus à recruter pour combler les besoins. Par ailleurs, la CFDT a exigé que les nouveaux embauchés dont le poste nécessite une formation soient logés immédiatement dans une résidence de type Parme (meublée). Ils se verront proposer par la suite un logement de longue durée.

La CFDT demande plus d’efforts

Elle est la seule organisation syndicale à se soucier de la situation des agents en poste. Ils doivent disposer des mêmes garanties de logement que les nouveaux embauchés sur tout le territoire.

Le prêt à l’accession sociale, un acquis pur CFDT

Dotée d’un pôle logement qui accompagne les cheminots dans leurs démarches, la CFDT a obtenu la possibilité pour les agents d’occuper un logement neuf en tant que locataires pour une certaine durée, puis en devenir propriétaires.

Des mesures partiellement satisfaisantes pour la CFDT

  • Proposition systématique d’un logement temporaire dans les quatre mois suivant l’embauche et dans un rayon maximal de 20 kilomètres autour du lieu d’affectation : la CFDT exige la réduction de cette distance afin de coller aux réalités sociales et de vie des cheminots, ainsi que la réduction de la période de recherche à trois mois maximum.
  • Création d’un parcours jeune embauché consistant à fournir un suivi personnalisé au nouveau cheminot jusqu’à l’obtention du logement : la CFDT exige davantage de personnel dédié au pôle logement et des moyens supplémentaires afin de répondre rapidement aux demandes de tous les cheminots.
  • Simplification des démarches : la CFDT veut que les cheminots soient mieux accompagnés afin qu’ils puissent se consacrer pleinement à leur travail et pas à la recherche très chronophage d’un logement.
  • Campagne de communication digitale et terrain : la CFDT propose que le site internet de l’agence logement présente de façon claire toutes les options de ce dispositif, y compris concernant l’accession sociale à la propriété. Une communication papier est également nécessaire dans tous les établissements (pôle RH, RS, zone de production, etc.).

Le pôle logement de la CFDT organisera une réunion d’information et d’échange sur ce dispositif, les impacts de la loi Élan et le nouveau référentiel d’entreprise sur l’aide au logement. Rapprochez-vous de vos représentants CFDT locaux.

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SUGE

La CFDT partage la colère des agents de la SUGE

Un mouvement d’exaspération des agents de la SUGE devant les locaux de la Direction de la sûreté et le CE a récemment eu lieu. Cette situation dénote clairement un mal-être que nous partageons et que la CFDT Cheminots dénonce elle-même depuis un certain temps. La CFDT a déposé une DCI le 10 décembre 2018.

Ce que la CFDT revendique

  • L’intégration de l’IPA et de l’ICPA dans le calcul de la retraite ainsi que la revalorisation de ces dernières.
  • Le déroulement de carrière et le parcours de fin de carrière des agents de la SUGE.
  • La revalorisation des EVS et de la prime.
  • L’arrêt de la fermeture des petits sites ainsi que de la mobilité des agents.
  • La mise en place d’un autre modèle économique.
  • Le droit au télétravail.

Ce que la CFDT a déjà obtenu

  • L’octroi d’une ITT pour tous les agents des PCNS impactés par la suppression des nuits ou d’un changement de régime.
  • La mise en place d’un entretien de mi-carrière (45 ans) pour tous les agents.
  • Le rappel des règles concernant le télétravail.

Lors de la première réunion du 10 janvier, la CFDT a rappelé ses revendications

La rémunération

Revendications CFDT

  • Intégration de l’IPA et l’ICPA dans la prime de travail afin de l’inclure dans le calcul des retraites.
  • Revalorisation de l’IPA et l’ICPA.
  • Revalorisation des EVS.
  • Attribution d’une prime compensatrice pour l’usure des vêtements lors des missions civiles.

Position de l’entreprise

Le 11 janvier 2019, un état des lieux sera établi entre le DRH SUGE et le responsable rémunération du Groupe public ferroviaire.

Évolution de carrière

Revendications CFDT

  • Établissement de délais de passage par PR.
  • Calibrage des qualifications pour les postes spécifiques (SEF, maître-chien, etc.).
  • Prise en compte de l’évolution de carrière des maîtrises et cadres.
  • Une nouvelle augmentation des QD opérationnelles.
  • Mise en place d’un parcours professionnel.

Position de l’entreprise

Le DRH de la SUGE prévoit la création de qualifications D opérationnelle résultant d’un passage de qualifications B vers C.

Qualité de vie au travail

Revendications CFDT

  • Mise en place d’un point planning semestriellement.
  • Aménagement horaire (création d’horaires de journée).
  • Arrêt de la valorisation du NU et donc de la suppression de TQ.
  • Prise en compte de la problématique des places de parking.

Position de l’entreprise

Afin d’améliorer la QVT, le DRH de la SUGE nous soumet sa volonté d’accepter un maximum de temps partiel et de diminuer le nombre d’occurrences horaires. De plus, une meilleure prise en compte de la condition humaine doit être réfléchie par chaque DZS. Lorsqu’une activité commande une prestation, celle-ci ne doit pas être systématiquement acceptée si la demande n’est pas totalement légitime.

L’entreprise s’engage à nous donner réponse sur les diverses revendications avant le 31 janvier 2019. La CFDT se réserve le droit de déposer un préavis à l’issue de ces trois rencontres. Prochaine rencontre avec la direction le 25 janvier.

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LA CFDT OBTIENT LA PRIME EXCEPTIONNELLE POUR LES ALTERNANTS

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LA CFDT OBTIENT LA PRIME EXCEPTIONNELLE POUR LES ALTERNANTS

ALTERNANTS

 

Par courrier,la Direction nous informe aujourd’hui de la mise en place d’une prime exceptionnelle à destination des alternants.

Cette réponse fait suite au courrier d’interpellation de la CFDT auprès de G.Pepy, Président de la SNCF. Les alternants avaient été les grands oubliés de la prime exceptionnelle de fin d’année.

Dès janvier 2019, comme pour leurs collègues cheminots, les alternants bénéficieront d’une prime de :
400 euros pour les salaires bruts inférieurs à 27 000 euros brut
200 euros pour les salaires bruts inférieurs à 35 000 euros brut

Cette mesure était attendue, la CFDT se félicite que les cheminots alternants se voient enfin rétablis dans leurs droits.

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ALTERNANTS

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Les exclus de la prime exceptionnelle

La CFDT demande au président Pepy une mesure immédiate de rattrapage. Consultez le courrier d’interpellation en scannant le code ci-contre.

Je consulte le courrier adressé par la CFDT au président Pepy en cliquant ici

 

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COMITÉ CENTRAL DU GROUPE PUBLIC FERROVIAIRE

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COMITÉ CENTRAL DU GROUPE PUBLIC FERROVIAIRE

En 2019, plus de production, moins de social…

Lors du CCGPF du 19 décembre, la SNCF a présenté son budget 2019. Un budget toujours marqué par une nouvelle saignée dans l’emploi. Tout, sauf une surprise pour la CFDT, qui a évidemment voté contre, comme ces quatre dernières années. La grande absente de cette équation budgétaire, c’est la perspective sociale.

Y a-t-il encore un pilote responsable dans le train ?

Pour la CFDT il ne peut pas exister d’outil industriel ferroviaire au service de nos concitoyens sans ressources humaines. En remettant à après-demain la quête de sens avec la construction d’un projet social avec les cheminots, l’entreprise et l’État risquent d’accentuer la fracture sociale cheminote très largement mise à mal ces dernières années. Alors que l’enjeu de l’ouverture à la concurrence impose l’engagement et la fidélisation des salariés, l’entreprise a d’envoyer un message de démobilisation en laissant le GPF sans perspectives sociales.

Comment se traduit cette ineptie budgétaire dans chaque Épic ?

À l’Épic de Tête

Avec des objectifs de suppression de postes supérieurs à ceux de 2018 (150 emplois de plus), derrière la recherche de gains de productivité « à tout prix », les tenants de l’orthodoxie comptable sont aux aguets alors que l’entreprise connaît de meilleures rentrées d’argent
(+ 230 millions d’euros).

L’aberration est poussée à son paroxysme à la SUGE

Dans certaines gares, plus d’agent Suge pour cause « d’heures de production déjà consommées ». Un comble, alors que notre pays vient d’être frappé par un nouvel attentat et connaît le niveau le plus élevé du dispositif Vigipirate. Il ne faut pas s’étonner à ce que ces agents s’organisent spontanément par eux-mêmes pour demander des comptes à la direction. Un avant-goût de la représentation sociale voulue par une direction adepte du dialogue social low-cost avec la mise en place des CSE.

À l’Épic Mobilités

Les indicateurs d’activités sont au vert. Fret, Transilien, Voyages et TER enregistrent de 7 à 8 % supplémentaires, grâce à une augmentation de l’investissement de 1,3 milliard d’euros en faveur de l’aménagement des gares, de l’information voyageurs et de l’achat de matériel. Mobilités devra faire face à une augmentation des péages demandée par l’État actionnaire, qui se veut engagé dans les enjeux de mobilités durables.

L’addition payée par les cheminots est très lourde

2 095 postes supprimés avec un plan de départ volontaire et une recherche quasi obsessionnelle de diminution du coût par agent comme l’illustre la récente démarche de l’entreprise de remettre en cause les allocations de déplacements. Sans doute faut-il y voir un lien avec l’ouverture à la concurrence et l’intégration des allocations dans le calcul de la rémunération en cas de transfert que la CFDT a obtenu à l’issue du conflit historique du printemps dernier.

À l’Épic Réseau

Sous fond de reprise de la dette par l’État actionnaire, le budget consacré à la sécurité souffre du désengagement de l’État. Faute de choisir, notamment pour les projets régionaux, l’État fait porter la responsabilité sur Réseau.

Résultat, un déficit porté par Réseau

Il y a quelques mois, le gouvernement vantait à l’opinion publique les vertus d’une réforme du ferroviaire soucieuse des deniers publics et de sa dette grandissante.

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11 décembre 2018 : la CFDT devient première organisation syndicale en France, secteur privé et public confondu.

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PRIME EXCEPTIONNELLE LE COMPTE N’Y EST PAS !

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PRIME EXCEPTIONNELLE LE COMPTE N’Y EST PAS !

LA SNCF vient de rendre sa décision concernant la mise en place d’une prime exceptionnelle. Elle sera d’un montant de :

400 € pour les cheminots ayant un salaire brut annuel fixe inférieur à 27 000 euros (primes incluses hors EVS)

200 € brut pour les cheminots ayant un salaire brut annuel fixe inférieur à 35 000 euros (primes incluses hors EVS)

Pour la CFDT, le compte n’y est pas !

Cette annonce prive une nouvelle fois les cheminots d’un véritable débat sur le pouvoir d’achat pourtant nécessaire alors que nous abordons bientôt une 5ème année sans augmentation générale des salaires.

Dans un courrier adressé à G. Pepy le 12 décembre dernier, la CFDT avait demandé un plan d’urgence pour améliorer le pouvoir d’achat.

Ces annonces ne sont pas de nature à régler la problématique des bas salaires à la SNCF, ni à apaiser un corps social cheminot mis à rude épreuve ces dernières années malgré de bons résultats économiques.

Plus que jamais le plan d’urgence de la CFDT sur le pouvoir d’achat des cheminots demeure d’actualité.

En 4 points le plan d’urgence demandé par la CFDT pour le pouvoir d’achat des cheminots

  1. Mise en place d’un véritable 13e mois pour tous les cheminots, qu’ils soient contractuels, au statut, sédentaires ou roulants.
  2. Alignement des modalités de calcul de la prime pour les agents d’exécution et de maîtrise sur celles de la GIR applicable aux cadres.
  3. Une prime exceptionnelle et immédiate de 1 000 euros pour tous les cheminots.
  4. + 100 euros par mois pour tous les agents, dès janvier 2019.

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